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VendsAlfa Romeo 6C 1750, Grand Sport Zagato de 1931. Leonita Gran Sport by Automobili Pettenella, 1931 immatriculation correcte, carrosserie entièrement en aluminium, moteur Alfa 2600 (1965), 6 cylindres, parfait état, opportunité rare. Merci de
Toutcomme la Gran Turismo, l'Alfa Romeo 6C 1750 Gran Sport apparaît en 1930. Contrairement à sa petite soeur, cette dernière est équipée d'un compresseur monté directement en bout de vilebrequin ce qui lui permet d'atteindre les 85 chevaux et les 145km/h en vitesse de pointe.
Lacélèbre 6C 1750 Gran Sport est justement un modèle carrossé par Zagato. Sa notoriété résonne encore aujourd'hui dans les magazines sur papier glacé et
Découvrezl'histoire de l'Alfa Romeo 6C 1750 Gran Sport de 1931 avec les photos et l'article signés Peter Ruch, Alfista passionné.
QuestaAlfa Romeo 6C 1750, un esemplare estremamente autentico, vanta una serie di importanti caratteristiche, tra cui una desiderabile posizione molto avanzata nella numerazione del telaio, una storia fatta di competizioni, 64 anni
Site De Rencontre Gratuit Comme Coco. 9 septembre 2012 7 09 /09 /septembre /2012 1800 L’Alfa Roméo 6C 1750 est l’un des modèles de la marque qui aura marqué son époque. C’est au Salon de l’Automobile de Rome en 1929 que ce nouveau modèle est présenté en remplacement de la 6C 1500. A la base c’est une voiture de tourisme relativement simple mais qui, en très peu d’années, va évoluer vers une voiture de course très sophistiquée. Ces évolutions extrêmement rapides dans la technologie des modèles Alfa Roméo sont dues, principalement, à un ingénieur de grand talent Vittorio Jano que Enzo Ferrari est allé débaucher chez Fiat. A ses débuts il a travaillé sur le moteur 6C 1500, petit moteur six cylindres en ligne avec arbre à cames unique et aux performances assez modestes. Le moteur 6C 1750, dérivé du précédent, gagne en cylindrée mais aussi en puissance et, équipé d’un double arbre à cames il est la base d’une série de moteurs de course très compétitifs. Au lancement plusieurs versions de voitures vont être présentées le premier modèle Turismo » dont l’empattement sera de 3100 mm qui sera suivi d’un modèle sport » à empattement plus court, puis d’un Super sport » qui était la version la plus puissante équipé d’un moteur 95 cv suralimenté. Ces deux dernières versions ne seront commercialisées par Alfa Roméo que pendant deux ans. Les remplaçants sont les modèles Gran Turismo » et Gran Sport ». Le modèle Gran Sport » est, bien sur, le plus puissant mais également le plus vendu de la gamme. Comme c’est l’habitude chez Alfa Roméo et chez bon nombre de constructeurs automobiles, les châssis roulants sont expédiés chez des carrossiers. Pour ces modèles 6C 1750 ce sont les deux firmes italiennes Zagato et Touring qui se chargent de l’essentiel de la production. D’autres carrossiers également italiens se verront confier quelques modèles Castagna et Stabilimenti Farina. En fin d’année 1933 les 6C 1750 sont remplacées par le 8C 2300. Le modèle présenté ici est un 6c Gran Sport » de 1931 équipé du moteur 6 cylindres en ligne de 1752 cc de cylindrée implanté longitudinalement à l’avant. Le moteur équipé d’un supercharger » développe une puissance maxi de 85cv à 4500 t/mn et un couple maxi de 172 Nm. Le client, basé à Turin, fait carrosser sa voiture par Zagato sous la forme du roadster standard. La voiture vie sa vie jusqu’en 1938 date à laquelle elle est rachetée en fort piteux état par Guiseppe Aprile de Savone qui est lui-même carrossier automobile. Au lieu de restaurer la carrosserie de Zagato, Aprile décide de créer un nouveau modèle plus moderne. Pour cela il fait appel aux services du styliste Revelli de Beaumont qui va créer une ligne très aérodynamique qui cependant respecte tout à fait la tradition d’Alfa Roméo. Le travail terminé, Aprile vend la voiture à un collectionneur italien qui va protéger son bien pendant toute la deuxième guerre mondiale avant de la revendre en 1956. Le 4ème propriétaire va conserver cet unique véhicule pendant plus de quarante ans. Dans la plus grande discrétion puisque personne ne semble l’avoir vu pendant tout ce temps. Ce n’est qu’en 2008 qu’un collectionneur italien en fait l’acquisition et lance une restauration méticuleuse de ce magnifique spider avant de le présenter au Concours d’Elégance de Pebble Beach en 2012. Je recommande à tous les passionnés de l'automobile et de son histoire les remarquables sites en anglais cités ci-dessous. Ils présentent, outre des commentaires et données techniques très complètes, de magnifiques photos sur la production automobile mondiale mais il y a aussi un site en Hongrois sur lequel il faut se contenter de regarder les photos Vous pouvez retrouver d'autres véhicules, tout aussi exceptionnels, dans la rubrique "VOITURES DE LEGENDE" de ce blog ou en vous inscrivant à la Newsletter voir ci-contre Published by jp echavidre - dans VOITURES DE LEGENDE
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Dans les années 1930, le 6C 1750 possédait la capacité unique de remporter des courses autant que des prix de design. Le Mantouan Volant 13 avril 1930. Juste après 5 heures du matin, les ombres silencieuses au bord du lac de Garde sont secouées par le grondement d’un Spider Alfa Romeo 6C 1750 Gran Sport roulant à 150 kilomètres à l’heure avec les phares éteints. Au volant se trouve Tazio Nuvolari, originaire de Mantoue et surnommé Nivola». À ses côtés, Gian Battista Guidotti, pilote d’essai en chef d’Alfa Romeo à l’usine du Portello. C’est un moment clé de cette édition mythique des Mille Miglia. Achille Varzi est alors leader de la course et vainqueur présumé. Cependant, quelques kilomètres avant le lac, à Vérone, Nuvolari et Guidotti avaient eu cette idée incroyable éteindre leurs phares. Leur seul espoir de battre leur rival était de le prendre par surprise. L’aube approchait. Après le lac, la campagne paisible mènerait à la ligne d’arrivée à Brescia. C’est ici que Varzi et son deuxième pilote Canavesi allaient détecter l’écho d’un autre moteur. Mais il était trop tard … Avant de réaliser ce qui se passait, ils avaient été dépassés par une voiture identique à la leur. Nuvolari roulait vers la victoire. Sa vitesse moyenne était de 100,45 km/h. C’était la première fois que la barrière des 100 km/h de moyenne était franchie dans cette course légendaire. Un record qui allait faire la une dans toute l’Europe. Dix minutes après le vainqueur, c’est un Varzi stupéfait qui arrivait deuxième. Giuseppe Campari prenait la troisième place suivi de Pietro Ghersi. Ces quatre pilotes avaient un point commun ils disposaient d’une 6C 1750. Et ils n’étaient pas les seuls. Dans l’heure et demie suivante, d’autres 6C franchissaient la ligne pour un total de huit parmi les onze premiers ! Cette suprématie absolue devait se répéter cette année-là avec les triplés remportés aux 24 heures de Spa en Belgique et lors du Belfast Tourist Trophy. La 6C 1750 était tout simplement la voiture la plus rapide de son époque. La famille 6C Vittorio Jano avait pris en charge toute la planification produits Alfa Romeo en 1926 et le 6C était sa première création. Sa tâche était d’inventer une voiture légère, brillante et performante» qui gagnerait des courses mais aussi des admirateurs pour conquérir de également de nouveaux marchés. Le 6C combinait à merveille simplicité structurelle et ingénierie sophistiquée, les qualités typiques des créations de Jano. Cependant, elle offrait également un autre avantage qui allait devenir une spécialité d’Alfa Romeo une puissance spécifique extrêmement élevée. Jano avait une capacité étonnante à tirer la puissance de petits moteurs, ce qui lui a permis d’imaginer ce que nous appellerions aujourd’hui le downsizing concevoir des moteurs avec une cylindrée comprise entre 1 litre – typique des voitures courantes de l’époque – et 2 ou 3 litres destinés aux modèles de luxe. Déjà à l’époque, les Alfa Romeo disposaient du meilleur rapport poids/puissance … et étaient donc les plus rapides. Innovation technologique Cette intuition d’ingénierie a conduit à une série de modèles devenus légendaires. Auparavant, l’ingénieur Merosi avait développé des moteurs très originaux pour les grands prix de 1914 stoppés du fait du déclenchement de la guerre et dont les principes techniques allaient perdurer pour la future conception des moteurs Alfa Romeo deux arbres à cames en tête, quatre soupapes par cylindre et double allumage. La 6C 1900 GT et plus tard les 6C 2300 et 6C 2500 avait quant à elle introduit d’autres innovations une suspension à roues indépendantes et un nouveau châssis avec des composants soudés et non plus rivetés pour une rigidité renforcée. Les qualités de tenue de route des Alfa Romeo allaient elles aussi devenir des éléments clés dans l’ADN si spécifique de la Marque. Le 6C 1750 On pourrait dire que la 6C 1750, présentée en janvier 1929 au Salon de l’automobile de Rome, exprimait la pleine maturité de la formule 6C. Le moteur était une évolution du précédent moteur en ligne à six cylindres de la 6C 1500. Il allait être produit en différentes versions – simple ou double arbre à cames, avec et sans compresseur volumétrique – et sa puissance variait de 46 ch pour la version Turismo à 102 ch pour la Gran Sport testa fissa ». Cette dernière version, très peu produite, disposait d’une culasse, d’un bloc et d’un carter coulés d’un seul tenant afin d’éliminer les joints et le risque de les abimer. Le poids de ce bolide n’éxcédant pas les 840 kg lui assurait une vitesse de pointe de 170 km/h. Le moteur n’était pas le seul facteur qui a fait de la 6C 1750 un must de l’innovation automobile. Elle utilisait aussi un système de freinage mécanique avec de grands tambours actionnés par un système de renvoi. Son châssis en acier embouti était parfaitement équilibré et d’une rigidité exceptionnelle et ses essieux étaient renforcés. Les ressorts à lames étaient montés à l’extérieur de la carrosserie plutôt que sous les longerons, contribuant à abaisser le centre de gravité, au bénéfice de l’adhérence en courbe. Le réservoir de carburant était placé plus en arrière afin d’améliorer l’équilibre et la répartition des masses. Conformément à la philosophie de la marque, toutes ces solutions innovantes allaient être appliquées tant aux versions routières qu’en course. Plus la 6C gagnait de courses, plus la réputation technique impressionnante du modèle augmentait. Dès son lancement, le 6C 1750 allait bénéficier immdiatement d’une forte croissance de ses ventes. Entre 1929 et 1933, 2 579 modèles furent produites dans l’usine du Portello, destinées à l’Italie mais aussi à l’étranger, notamment en Grande-Bretagne et dans le Commonwealth. Un résultat exceptionnel, surtout si l’on considère le statut résolument élitiste de la voiture en Italie par exemple, elle coutaît entre 40 000 et 60 000 lires, soit environ sept ans de salaire moyen… L’ère des carrossiers Les 6C étaient non seulement ultra-rapides mais aussi magnifiques. Leur succès devaient en effet aussi beaucoup aux carrossiers qui les ont habillées en plus de leurs talents artistiques et de designers, ces maîtres artisans étaient à même de réunir les métiers de sellier, formeur de métal ou peintre. Ils ont ainsi marqué leur époque. Jusqu’aux années trente, les châssis nus quittaient les usines de production, équipés uniquement de leurs moteur, boîte de vitesses et suspensions. Le client achetait ce châssis et chargeait un carrossier de l’habiller sur mesure. Des créations pratiquement uniques. Le premier département dédié à la carrosserie interne à l’usine de Portello n’a pas été lancé avant 1933. Ce département propre à Alfa Romeo a dans un premier temps coexisté avec l’organisation précédente qui prévoyait de transférer les châssis directement chez les carrossiers. La 6C 1750 offrait une base exceptionnelle pour ces carrossiers qui ont ainsi donné lieu à la création de quelques-uns des modèles parmi les plus élégants jamais construits. Des créations dûes aux meilleurs stylistes et destinées aux plus célèbres VIP de l’époque. La 6C 1750 GS Touring Flying Star» La Flying Star» a été conçue pour être aussi irrésistible que sa propriétaire, Josette Pozzo, millionnaire, mannequin et célébrité mondaine. La Flying Star » a été conçue spécialement pour participer au Concours d’élégance de Villa d’Este de 1931 et construite par la Carrozzeria Touring de Felice Bianchi Anderloni. Le Spider 6C 1750 est une création unique un véritable bijou d’originalité, d’élégance et de soin du détail. Il est entièrement de couleur blanche, y compris le dessous de caisse, les rayons de roue, le volant et la sellerie, la seule exception étant son tableau de bord noir tout en contraste. Touring a doté la 1750 de nouvelles proportions, ajoutant une série d’élégants détails esthétiques inspirés du style art nouveau, à l’exemple des marchepieds qui sont comme suspendus sous les portes, prolongeant les ailes arrière et sans liaison avec les ailes avant. Finalement, lors du concours de Villa d’Este, cette extraordinaire 6C 1750 GS Touring a remporté la Gold Cup dedié à la plus belle voiture, Josette Pozzo en prenant le volant pour venir recevoir le prix, magnifiquement vêtue d’une tenue blanche assortie.
ITALIAN COACHBUILDER CASTANGA made magic art combining elegance with Alfa Romeo brio. This 1933 6C 1750 is the third Castanga-bodied Alfa featured here at SimanaitisSays. I described the 1934 Castanga Alfa as having “brio with elegance.” In the same article, the 1914 Siluro Ricotti hid a conventional chassis encased within Castanga-fabricated torpedo bodywork. Above, the 1934 Alfa-Romeo Castanga; below, the 1914 Siluro “Torpedo” Ricotti. Images from R&T, January 1956, and respectively. A Handsome Gran Sport. This time, let’s admire the 1933 Alfa Romeo 6C 1750 Gran Sport Drop Head Coupe, as it appeared at Gooding & Company’s 2012 Scottsdale Auction. 1933 Alfa Romeo 6C 1750 Gran Sport Drop Head Coupe. This and the following images from Gooding & Company 2012 Scottsdale Auction catalog. Gooding writes that the car “is a very early 6th Series Gran Sport, of which only 44 examples were built…. With its elegant proportions, dual rear-mounted spares and long, sweeping fender line, this Drop Head Coupe has much more dramatic styling than many of the firm’s earlier designs for the 6C chassis.” Gooding continues, “Discovered in and imported from the occupied British Zone following WWII, it is believed that the car was delivered new to a customer in Germany. Unlike many high-end automobiles, this 1750 was fortunate to survive the duration of the war, but not without its own battle scar—a somewhat comical hole in the middle of the passenger door, which was caused by artillery fire.” Evidently the passenger door had been put right by the time of this photo. Matching Numbers. The car’s provenance is enhanced by its having an identical engine and chassis number 121215033. The 6C 1750 nomenclature identifies its engine’s six cylinders actually displacing 1752 cc. The base engine if such heresy of terminology will be excused had a single overhead camshaft. Super Sport and Gran Sport versions had double overhead particular Gran Sport was also fitted with the optional Roots-type supercharger, giving it 85 hp at 4500 rpm. Supercharged 6C 1750 Gran Sports had a top speed approaching 100 mph. The Root-type supercharger, driven from the front of the engine, features finned ducting to dissipate heat of its compressed charge. This car’s front suspension is independent with torsion bars and unequal-length wishbones. A live rear axle is suspended on trailing links with a one-piece torsion bar. The model was known for its supple suspension, capable of handling indifferent roads of the era, though it’s considered stiff by modern standards. The car’s manual gearbox has four speeds actuated by a spindly lever. Like other sporty cars of the era, its accelerator is positioned between brake and clutch; this, to facilitate heel-and-toe double-clutch downshifting. The finned-drum brakes are actuated mechanically. The Alfa’s key confirms a legend of simplicity in firing up an Italian high-performance car. The Gooding catalog notes, “Included with the sale is an impressive file that consists of restoration documents, a copy of the original UK logbook, and a rare English-language operation manual for the 6C 1750 Gran Sport model.” The car was offered at an estimated $750,000–$850,000 at Gooding’s 2012 Scottsdale auction. It fetched $781,000. Like all Castanga-bodied Alfas, the car is a sweetheart with real brio. ds © Dennis Simanaitis, 2020
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